Ils ont volé !

La Manche Libre en parle :

L’expérience lycéenne

Mardi 19 et jeudi 21 mai, deux élèves et deux professeurs du lycée La Morandière, en filière scientifique, ont eu la chance d’embarquer à bord de l’A310 du Centre national d’études spatiales (CNES), pour un vol en apesanteur !

Chaque année, le service Jeunesse et acteurs de l’Education du CNES propose aux lycéens et aux étudiants de concevoir et réaliser des expériences qui pourront être mises en œuvre dans des conditions proches de l’impesanteur... Parmi les heureux élus, des lycéens granvillais ont été retenus cette année !

"A 6 000 m d’altitude, le pilote pousse l’avion à plus de 800 km/h, puis entame une ascension jusqu’à atteindre une inclinaison de 52°. Lors de cette phase, notre poids est doublé !", explique Alain Charbonnel, professeur en sciences de l’ingénieur au lycée. "Puis les moteurs sont coupés. L’avion est alors en chute libre, jusqu’à passer au-dessus de la vitesse de décrochage." Pendant une vingtaine de secondes, tout l’équipage est alors en impesanteur !

Ouest-France en parle :

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Professeur et élèves ont retrouvé le plancher des vaches après leur série de vols paraboliques, à bord d’un avion A310, effectués du côté de Bordeaux.

Regardez la vidéo de la conférence tenue à La Morandière concernant ce vol :

Le vol parabolique par OuestFranceFR

Jeudi soir, deux professeurs et treize lycéens de la Morandière sont rentrés de Bordeaux. Suite à leur sélection au concours Parabole 2015 organisé par le Centre national d’études spatiale (Cnes) (Ouest-France du 22 janvier), ils étaient invités à passer trois jours dans le Bordelais, et à deux d’entre eux d’embarquer dans un Airbus A310 pour effectuer des vols paraboliques en impesanteur (apesanteur sur terre). Deux autres lycées étaient présents, Tournefeuille (Haute-Garonne) et Verdun (Meuse).

« Depuis le début de l’année, nous avons préparé des expériences pour ce projet, explique Alain Charbonnier, professeur en sciences d’ingénieurs. Jean-Michel Martinuzzi, du Cnes, puis un ingénieur sécurité se sont déplacés à Granville pour nous expliquer les contraintes de ce vol parabolique. »